prénom, pseudo ≈ minnie alias prada âge ≈ vingt ans. avis sur le forum ≈ magnifique, le temps d'attente en valait grandement la peine    comment l'as tu découvert ≈ bazzart baby    personnage ≈ (x) inventé () prédéfini () scénario dernier mot ≈ maïs en crème  

Il y avait toujours ce si doux vent qui soufflait sur ta peau lorsque tu te rendais à cette rivière qui était non loin d'où tu vivais. Cet endroit avait toujours eu ce don de te calmer, d'effacer tous les petits problèmes pour qu'au final tu ne te concentres que sur la nature et l'eau qui t'entourait. Le problème avec toi, lorsque tu étais petit, c'est que tu ne savais pas t'arrêter. De bouger, de parler et au final tu voyais bien que ta mère en souffrait beaucoup. Cette femme qui posée de nature ne pensait certainement pas se  retrouver avec non pas un, mais plutôt deux gamins bruyants qui avaient un peu trop d'énergie à revendre. Pourtant, elle semblait impassible. Elle ne faisait que te regarder, en espérant que tu ne tombes pas à l'eau. Que tu tentes de la manipuler plutôt. Parce que tu avais toujours manqué de volonté. Et tu savais bien que si tu ne t'y mettais pas à ce moment, tu n'y arriverais certainement jamais. Alors, tu pris une grande respiration en fermant lentement les yeux pour te concentrer pleinement sur le son de la rivière et tu commenças une série de geste saccadé. Tu sentais peu à peu l'énergie traverser ton corps, puis tu rouvris les yeux pour voir qu'un très mince filament d'eau jaillissait de la rivière. « C'est un début, Kvasir, tente de manipuler plus d'eau. Autrement, ton tuteur verra bien que tu n'as fait aucun progrès. » Certes, elle avait entièrement raison, c'était loin d'être une grande amélioration, mais tu te disais que c'était un début. Mais encore tu pouvais faire mieux. Alors, tu repris une grande respiration et recommença l'exercice, une fois puis deux fois, sans qu'il n'y ait de nouvelles amélioration. Tu désespérais, car tu ne voyais pas ce que tu faisais de travers. Et plus tu continuais, plus tu te fâchais. Et plus tu te fâchais, moins tu réussissais. Ça en devenait un cercle vicieux dont tu n'arrivais pas à te sortir. « Ça ne servira à rien de poursuivre si tu ne te calmes pas Kvasir. Nous allons faire une pause et profiter du paysage et nous reprendrons après. » Tu étais visiblement un cas désespéré. Pourtant, ta sœur y arrivait très bien elle, alors pourquoi était-ce si différent avec toi ? Après tout, tu savais bien que tu possédais ce pouvoir, alors pourquoi était-il si indomptable ? Mais tu suivi le conseille de ta mère et pris une pause en  t'assoyant sur une roche, alors qu'Alesys, qui venait visiblement de prendre la forme d'un chaton venait de se coucher sur toi. Et dire que même elle, réussissait à garder son calme. C'était bien toi le problème dans cette histoire et personne d'autre. Après quelques longues minutes, tu te décidas enfin à te relancer. Tu te disais que cette fois, ce serait la bonne. Alors, tu te lanças, au départ lentement, mais tu pris rapidement un peu de vitesse. Puis ce n'était plus qu'un simple filament, mais maintenant une colonne qui s'était créée. Tu avais réussi. Tu avais enfin réussi. Tu te retournas donc rapidement vers ta mère en laissant l'eau retrouver la rivière, un grand sourire aux lèvres « J'ai réussi maman ! J'ai enfin réussi ! » À ce moment rien n'importait plus que cette victoire personnelle. Tu étais si fier d'avoir enfin pu prouver à ta mère que tu étais capable. Car toi, tu n'avais toujours voulu que t'améliorer et maintenant tu étais prêt à mettre de réel effort afin d'y parvenir. Pourtant...  « Quoi ? Désolée j'étais distraite, tu ne voudrais pas recommencer ? » Pourtant, toute cette fierté ne servait à rien, si tu étais le seul à avoir vu tes exploits. Et puis, tu n'étais pas sûr de pouvoir refaire cela, vu la déception qui te rongeait l'âme depuis quelques secondes à peine. Car même si tu avais fait du chemin, tu étais encore loin d'être un maître. « Maman ! », avais-tu lancé à son attention, d'un ton de reproche. Après tout, tu avais fait de réel effort pour y parvenir et tu aurais vraiment voulu qu'elle soit aussi fière que tu l'étais. « Je blaguais, je suis très fière de toi Kvasir. Rentrons maintenant, tu le referas demain avec ton tuteur. » Puis, ton sourire réapparu en un instant. Au final, elle avait bien vu ce dont tu étais capable. Au final, elle était fière elle aussi. Tu pouvais donc partir avec ta mère, sur un ton serein plein de fierté.

Tu regardais ta sœur qui semblait très concentrée sur ces petites pousses d'herbe qui faisait surface. Il était vrai qu'on ne voyait pas cela d'où tu venais, car il y avait toujours cette épaisse neige qui couvrait Lumisol, même durant les longs jours d'été, où la température ne montait que de quelques degrés. Donc peut-être que toi aussi, si tu n'avais qu'une parcelle d'intérêt pour la flore, tu t'y intéresserais grandement comme elle le faisait, mais ce n'était pas ton cas. Après tout, tu t'étais habitué à ce manque de végétation au point que cela te rendait indifférent à la vue de plante verte. Tu t'approchais donc furtivement dans le dos de ta sœur afin de la surprendre. C'était un jeu fort simple avec elle, la jeune femme ayant toujours été très nerveuse, tu arrivais à l'effrayer à tout coup. Tu approchais donc sur la pointe des pieds, tentant de faire le moins de bruit possible. Pourtant, c'était difficile, alors que la neige était collante, car celle-ci était en train de fondre lentement. Tu avais presque l'impression de marcher sur l'eau. Bien que c'était un peu le cas, puisqu'après toute la neige était bien de l'eau, qui était froid et solide certes, mais de l'eau tout de même. Pourtant, ce n’était pas ce qui allait t’arrêter dans ta lancé. Tes pieds avançaient l’un après l’autre dans un mouvement précis jusqu’à te retrouver à quelques centimètres de ta sœur jumelle qui ne semblait pas encore avoir remarqué ta présence imposante dans son dos. Il ne lui fallut que quelques secondes pour qu’il pose d’un geste rapide ses mains sur la taille de sa sœur pour au final entendre un cri rauque qui semblait se perdre dans l’écho du paysage. Il n’en fallut pas plus pour que cette femme qui avait toujours eu beaucoup de caractère se retourne vers toi et que son regard, habituellement si doux, réussit maintenant à lancer des éclairs. Bon, tu y étais peut-être encore allé trop loin, mais ton sourire impassible trahissant ton manque de regret. C’était donc le moment où tu aurais le droit à ce long discourt comme quoi tu n’aurais jamais dû faire cela. Qu’un jour le cœur si fragile de ta chère sœur lâcherait. Bla. Bla. Bla. « Merde Kvasir, c’est pas drôle. Je pensais… je pensais… » Elle te lançait toujours ce même baratin. Elle te disait toujours que c’était mal de lui faire ça. Car tu savais pertinemment que c’était un jeu joué d’avance. Pourtant, toi c’est ce qui t’amusait tant. Cette facilité. Car toi, jamais, tu n’avais eu quelque chose de facile, contrairement à ta sœur. Toi tu avais toujours dû travailler plus fort pour apprendre. Travailler plus fort pour changer. Alors qu’elle était parfaite. Loin de là l’idée d’une quelconque jalouse de ta part. Tu étais ravi même d’avoir une sœur si parfaite. Car toi tu l’admirais beaucoup Frigga. Car toi, tu n’avais toujours vécu que pour elle. Que pour son bien. Que pour son bonheur. Que pour sa protection. Elle était tout simplement tout pour toi. Alors certes, tu avais à franchir des montagnes pour lui arriver à la cheville, mais tu le faisais avec plaisir. Pour lui éviter ce mal qu’elle aurait pu se faire. « Tu pensais… tu pensais que j’étais un tueur ? Non, mais voyons Frigga, relaxe un peu. Tu n’écoutes jamais lorsque mère parle ? Il faut rester calme et zen, en toute circonstance. » Mais malgré tout cet amour que tu pouvais lui porter, il n’en restait pas moins qu’elle était ta victime préférée. Car oui, tout cela pour finalement dire que puisque tu travaillais si fort pour te montrer digne, il n’en restait pas moins que tu étais humain. Et chaque humain aime la facilité. Et heureusement, ou plutôt malheureusement pour Frigga, tu ne faisais pas exception. « Tu peux bien parler, toi. Tu penses que c’était calme et zen de tenter de m’effrayer comme ça ? » Oh oui, tu pouvais bien parler toi. Toujours sur les grands cheveux, rares étaient les fois où tu réussissais à être vraiment calme. Et ce geste poser à l’intention de ta sœur ne faisait que prouver cette théorie. Pourtant, tu t’étais beaucoup amélioré avec le temps. Tu avais appris à prendre de grandes respirations et à prendre sur toi-même. Car le regard des autres sur toi avait toujours beaucoup pesé. Car il t’avait toujours beaucoup affecté. « Tenter ? Je crois bien avoir réussi plutôt. Tu ne t’es pas vu, c’est pour ça. Promis la prochaine fois j’apporte une glace que tu puisses voir ton visage en pleine action. » Mais dans tout effort, de mauvaises manies persistent. Et c’était ta façon à toi de canaliser toute cette énergie que tu possédais. C’était ta façon de ne pas exploser. Ta façon de plaire aux gens. En les taquinant, certes, mais tu savais bien qu’ils t’appréciaient tout de même. Car malgré tes apparences d’enfant énervé, tu n’en restais pas moins un cœur tendre qui ne cherchait qu’à être écouté. « Oh non, il n’y aura pas de prochaine fois, crois-moi. » Cependant, tu n’étais pas tout le problème dans cette histoire. Car au fond, tu savais bien que ta sœur adorait que tu la taquines. Après tout, elle te tendait toujours une perche pour te permettre d’enchaîner avec une autre pique à son intention. Mais cela avait toujours été comme ça rentre vous deux. Les taquineries, pour cacher ce lien si fort qui vous unis. « Ouais, ouais. Tu dis ça à toutes les fois. Pourtant, cette petite blague marche à tout coup. » Et tu avais raison. « Rah, mais tu m’énerves. » Et elle le savait elle aussi. « Moi aussi je t’aime tu sais. » Et tu ne lui avais jamais caché. Car Frigga, elle était tout pour toi. Comme tu étais tout pour elle.

Tu étais jeune lors de ton premier mariage. Très jeune même. Pourtant, ton père avait jugé que tu étais assez vieux. Qu'il était temps pour toi de te marier. Bien sûr, il lui a fallu marchander longtemps avant de trouver celle qu'il te fallait. Une fille d'un riche marchand de la nation de l'eau. Ton père fut conquis et un mois à peine après cette alliance, vous étiez marié. C'était une chouette fille Astoria. Elle avait toujours été gentille avec tout le monde. Elle ne pensait jamais à elle, toujours aux autres. Toujours à vouloir les aider. Elle en donnait beaucoup trop ce petit bout de femme, mais il vous était impossible de la détester. Tu avais bien essayé d'ailleurs. Toi qui n'avais jamais voulu de tout cela. Certes, tu étais soumis à l'autorité de ton père, mais cela ne t'empêchait pas de poursuivre tes propres idéaux. Ce ne t'empêchait pas de diverger d'opinion. Pourtant, à l'annonce de vos fiançailles, tu n'avais rien dit. Projetant ta haine vis-à-vis de ce mariage dans la solitude. Et tu trouvais réconfort dans les bras de ta sœur, toujours là pour t'épauler. Mais tu avais tout de même appris à la connaitre. Après tout vous n'aviez pas le choix que de passer votre vie ensemble, vos parents en avaient décidé ainsi. Alors tu avais fait des efforts, pour au final l’apprécier vraiment. Car personne ne pouvait résister à ce cœur d’or. Pourtant derrière ce cœur d’or, ce cachait de la faiblesse. Car oui, Astoria avait toujours été si fragile. Elle ne supportait en aucun point la douleur qui lui arrachait des cris à tout coup. Puisqu’elle était malade Astoria. Depuis toujours. Et bien qu’on ignorait tout de cette maladie, il n’en restait pas moins qu’elle la grugeait un peu plus chaque jour. Sans qu’on puisse trouver d’antidote. Sans qu’on ne puisse même l’aider dans cette souffrance. Car sur sa peau de neige, s’affichait d’innombrables ecchymoses lui donnant l’air d’une femme battue. Pourtant toi, tu ne lui aurais jamais fait de mal. Et vint un temps où tu ne voulais plus la toucher par peur qu’elle ne s’écroule devant tes yeux. Mais tu avais toujours eu beaucoup de pression sur tes épaules. Car si l’on parlait de mariage, on entendait par là héritier. Et tu n’avais pas le choix de satisfaire les exigences de ton père. Et elle tomba finalement enceinte après deux ans. Et elle sembla tout d’un coup changée. Plus resplendissante qu’elle ne l’avait jamais été. Avant de s’éteindre dans une mare de sang. Elle n’avait plus l’énergie nécessaire pour se battre comme elle le faisait depuis tant d’année. Le bébé lui avait tout volé. Cette nuit-là, elle t’avait signalé son mal de ventre qu’elle avait du mal à supporter. Et toi, plutôt que de l’écouter, tu lui avais dit de ce rendormir, que ça allait surement passer. Puis le lendemain à ton réveil, il était déjà trop tard. Tu ne t’étais jamais senti aussi mal de toute ta vie. Et tu avais tellement pleuré sa perte et celle de votre enfant. Car au fond de toi, tu te sentais coupable. Tu te disais que tu aurais ou l’aider. Que tu aurais pu empêcher tout cela de ce produire. Mais il était trop tard pour que tu puisses faire quoi que ce soit. Tu ne pouvais pas retourné dans le passé. Faire les choses différemment. La sauver.

Après la mort d’Astoria, tu as pu te sauver de toutes tes obligations. Du moins, pendant cinq ans. Temps que ton père considérait raisonnable vu les pertes que tu avais subies. Après ce long moment, tu pensais bien avoir réussi à te sortir de toute cette vie d’ailleurs qui ne t’avait jamais ressemblé. Tu pensais vraiment pouvoir mettre une croix sur la politique et ses alliances, du moins tu l’espérais de tout cœur. Pourtant, ton père avait d’autres plans pour toi, il en avait toujours eu. Car en fait, il désirait un retour en force de ta part. Un nouveau mariage.  Avec un héritier cette fois. Ou une héritière. Et bien que cette idée ne t’enchantait guère, tu n’avais tout simplement pas la force de t’y opposer. Car le temps t’avait usé plus que tu ne voulais l’admettre. Comme si ces cinq ans avaient plutôt été vingt ans. Et tu avais beaucoup mûri durant ce temps. D’ailleurs, ta fiancée, elle a toujours été si jeune à tes yeux. Parce que tu la connaissais depuis toujours cette petite, pas comme tu connaissais ta sœur, mais tu savais pertinemment qui elle est. Car tout comme les Visegard, les Lancaster étaient l’une des familles vassales du royaume de l’eau, l’une des familles très importantes. Et c’est à cette honorable famille qu’Aenor appartenait et appartient toujours à l’heure actuelle. Cette jeune femme haute en couleur qui avait toujours su faire naitre un sourire au coin de tes lèvres. Mais toi, qui étais-tu toi pour être fiancé à cette demoiselle si jeune ? Après tout, tu étais de huit ans son ainé, il était évident que tu étais presqu’un vieillard à côté d’elle. Un vieillard qui en avait beaucoup plus vécu qu’elle. Qui avait fait ses expériences, qui allait maintenant dans le droit chemin après s’être battu si longtemps pour devenir quelqu’un de bien. Quelqu’un de respectable. C’est peut-être pour cela que tu avais toujours agi de la sorte envers elle. En voulant toujours être derrière elle, à la protéger plus que tu ne le devrais. Mais au final, si tu agis de la sorte, c’est que même si tu ne veux pas te l’avouer, tu tiens à la superbe jeune femme qu’elle est devenue et que tu te sentirais coupable s’il lui arrivait quoi que ce soit. Après tout, depuis la mort d’Astoria, les gens avaient tendance à parler de toi. Ils racontaient des histoires, comme quoi tu n’avais jamais été là pour elle. Que tu ne t’en souciais pas. Qu’elle ne valait absolument rien à tes yeux. Alors que c’est tout le contraire. Et au final, peut-être est-ce ce qui te motive tant à vouloir la surveiller dans les moindres gestes. Puisque tu ne nieras pas que l’image qu’on a de toi a toujours été très importante. Et que tu détestes qu’on pense que tu n’avais aucun intérêt pour la femme qui partageait ta vie. Car même si ce n’était pas par choix, elle était importante. Sans oublier que tu ne peux nier avoir toujours eu cet instinct protecteur et toi qui voit aveuglement la jeune Aenor comme une charge qu’on a mise sous ta responsabilité, tu ne peux tout simplement pas t’empêcher d’agir comme tu l’as toujours fait envers les gens qui ont de l’importance à tes yeux. En prenant beaucoup trop de place dans sa vie. En lui disant ce qu’elle devrait faire et ce qu’elle ne devrait pas faire. Comme si tu étais son père. Quitte à ce qu’elle te trouve agaçant parfois, enfin presque tout le temps pour tout dire et qu’elle fasse sourde oreille à chaque conseil que tu lui donnes. Et au final, c’est peut-être bien ce qui te plait chez elle. Son acharnement et son tempérament de feu.  

Voilà ! Tu es enfin validé(e) et tu vas pouvoir rejoindre Kandrakar et t'amuser à tuer des gens, te battre contre nous et manger des poulets de la banquise, la vie est belle n'est ce pas ? Mais avant cela, permets-moi de te dire que : j'aime beaucoup ta plume et ta façon d'écrire et j'ai hâte de voir ce qu'il va advenir entre aenor et kvasir .

Désormais, un monde nouveau s'ouvre à toi, que dis-je, toute une galaxie où tu seras the king/queen of the world mais avant cela, une petite mise au point s'impose ! Maintenant que tu es un membre du forum, tu vas devoir t'enregistrer sur quelques sujets pour que nous puissions (nous, le grand staff ultime et méchant que tu aimes of course ) gérer le forum. Dans un premier temps, merci de recenser ton avatar en passant dans ce sujet. C'est très important, alors n'oublie pas de le faire ! Ensuite, tu vas devoir faire un tour dans les registres du forum pour que nous puissions t'ajouter. Premièrement, tu vas recenser ton daemon en allant dans ce sujet. Ensuite, tu vas être recensé(e) dans ta nation en cliquant par ici. D'autre part, à Kandrakar comme tu as du le remarquer, nous avons différents camps. Tu vas devoir nous indiquer le tien en faisant un tour sur ce sujet. Et pour terminer, merci de nous indiquer ton travail en cliquant par ici !

Par ailleurs, tu vas pouvoir t'intégrer au sein du forum et nous t'invitons pour cela à poster ta fiche de liens et de RPs de ce pas ! Nous avons mis un modèle facultatif à ta disposition si tu veux, il se trouve dans ce sujet ! Tu as peut-être besoin de scénarios ou de liens précis, alors n'hésite pas à créer un scénario en cliquant ici ou en optant pour un semi-liens en jetant un coup d'oeil à ce sujet. Pour finir, le flood est ta nouvelle maison alors viens y faire un tour par-ici. A bientôt sur le forum