prénom, pseudo ≈ louise/ghostly fox. âge ≈ 14 petites années. avis sur le forum ≈ superbe    comment l'as tu découvert ≈ via les tops-sites. personnage ≈ (x) inventé () prédéfini () scénario dernier mot ≈ je prends mon courage à deux mains et je vais lire toutes les annexes  

« cours, emmène ta sœur ! » les mots jaillirent telles des flammes, avec autorité afin que ce dernier obéisse sans broncher. ils étaient étouffés sous la multitude de bruits qui faisaient du décor un véritable désordre, des cris, des hurlements, je ne saurais décrire avec précision. le petit garçon s'empressa de saisir la petite fille dans ses bras et de s'enfuir à toute vitesse. sa chevelure blonde flottait au vent, les cendres venaient s'y mêler. il courait, il courait, comme pour sauver sa peau. il fermait les yeux et priait pour que ses pas lui indiquent quel était le chemin à prendre. il priait silencieusement le ciel, il espérait qu'il serait, pour une fois, de son côté et qu'il l'aiderait à ne pas affronter la mort en face. et pourtant, elle rôdait, tapie dans l'ombre, elle attendait que l'on vienne la chercher, réclamant sa présence. les parents, quant à eux, firent face au danger, couvrirent leurs deux enfants, la prunelle de leurs yeux. ils ne pouvaient pas envisager de les laisser mourir, ils étaient l'avenir. leur avenir. mais bientôt, la guerre ayant redoublé d'intensité, les parents durent se résoudre à trouver un endroit où s'abriter, car les corps inanimés au sol décuplaient. ils ne pouvaient rester, où ils se verraient disparaître à tout jamais. l'important, c'était que leurs enfants étaient sains et saufs. maintenant, c'était à eux de se protéger. alors ils se mirent à courir, comme le petit garçon et la petit fille. mais dans la direction opposée.

« il fait noir.
tu sais, j'ai peur du noir. »

blottis l'un contre l'autre, dans le noir le plus total. les deux enfants se réchauffaient mutuellement, le petit garçon enveloppait de ses bras la petite fille apeurée, qui pleurait et appelait ses parents à l'aide. il lui chuchotait des mots rassurants. « ne t'en fais pas, nous serons bientôt à la maison. » il ne savait pas si c'était vrai, mais il voulait la rassurer, sa petite sœur, sa perle rare. il ne voulait plus l'entendre pleurer, l'entendre avoir peur, l'entendre avoir froid. il voulait son bonheur. le bonheur, quelque chose de difficile et de rare. mais il y parviendrait. c'était la nuit. il faisait froid, très froid. le froid venait jusqu'à nous, il nous gelait les doigts. mais la nuit était calme, les combats s'étaient estompés pour finir par devenir un écho. un simple écho qui s'en était allé dans les vents de l'hiver. mais le vent les ramènerait, le lendemain à l'aube, vous savez. c'était interminable. chaque jour, ça recommençait, avec un flot de larmes et de sang en plus. c'était atroce. c'était une ruelle sombre, étroite. un lieu où seuls des enfants de petite taille parvenaient à se faufiler. ils avaient voulu se protéger de cette atrocité, de ce conflit qui ne les concernait guère. les nations avaient décidé de s'affronter entre elles, mais les enfants étaient innocents, ils ignoraient les enjeux de cette guerre, ils n'avaient pas le droit d'être témoins d'une telle violence. mais c'était ainsi. alors les plus grands protégeaient les plus petits, tandis que les parents s'en allaient défendre leurs opinions. et les enfants se taisaient et pleuraient en silence.

la nuit était désormais dénuée de tout bruit. rien ne venait bouleverser cette tranquillité, rien du tout. et c'était plutôt étrange, même la nuit, ça n'avait jamais été aussi calme. le petit garçon saisit la main de la petite fille et la blottit contre lui. il observa les alentours, il n'y avait rien. les effluves de mort lui parvenaient, mais il ferma les yeux. il les garda clos et avança, un pas devant l'autre. il devait retrouver ses parents, ramener sa petite sœur. il ne pouvait pas fléchir, il devait se battre pour elle. la chevelure blonde de l'enfant couvrait l'épaule nue du petit garçon ; ses vêtements étaient déchirés. il n'était plus que recouvert d'un maigre bout de tissu, en lambeaux. mais il luttait avec bravoure. la terre recouvrait ses joues. jamais il ne s'était senti aussi abattu. il filait à travers le ciel obscur, cherchant refuge. les ruelles n'étaient plus qu'illuminées de quelques maisons, mais les rideaux étaient tous fermés. les gens cherchaient à se détacher de l'atrocité, ils cherchaient un moyen d'oublier. mais ils ne savaient pas. à l'aube, ça recommencerait. nous le savions tous, mais nous essayions d'oublier. nous avons essayé, et nous avons échoué.

soudain, un coup. deux coups, trois coups. la petite fille tomba, sur le sol froid. elle tomba, inlassablement, et ses cheveux dorés vinrent se mêler à la pluie qui s'étendait sur les pierres froides de la ruelle. elle sanglotait, tant la violence des coups la firent trembler. elle se cachait les yeux. de ses deux petites mains d'enfant. elle ne voulait pas voir. car au fond, elle savait. on lui avait enlevé la chaleur. on lui avait enlevé la protection. elle était désarmée, seule au monde. elle ne voulait plus bouger. recroquevillée au milieu de la petite ruelle sombre, personne ne vînt l'aider. alors, après d'interminables heures de lamentation, le sommeil, malgré la peur, prit possession de son petit être. son petit être qui semblait pouvoir se briser par une simple poignée de mains. de son petit corps faible. elle dormait avec tant d'innocence. tant d'inconscience. des mains l'agrippèrent tout à coup. qui était-ce ? elle l'ignorait. elle ne cherchait même pas à deviner. elle en avait assez, de jouer aux devinettes. elle se laissait bercer, elle n'avait pas mal. puisque la douleur n'était pas là, elle ne se débattait pas. on l'emmena loin, très loin. des hurlements horrifiés tintèrent dans ses oreilles. la mère, derrière elle, hurlait sa peine. le petit garçon baignait dans une marre de sang. ses yeux semblaient vides, tout son corps était inerte. c'était abominable. le père ne disait mot. il observait la scène, les yeux ronds, dans lesquels des larmes commençaient à s'immiscer. alors, la mère hurla de toutes ses forces. elle serra dans ses bras la petite fille et lui murmura ces quelques mots. « je ne t'abandonnerais plus jamais, lumen. »

Voilà ! Tu es enfin validé(e) et tu vas pouvoir rejoindre Kandrakar et t'amuser à tuer des gens, te battre contre nous et manger des poulets de la banquise, la vie est belle n'est ce pas ? Mais avant cela, permets-moi de te dire que : c'est parfait j'étais trop triste en lisant l'histoire bon jeu .

Désormais, un monde nouveau s'ouvre à toi, que dis-je, toute une galaxie où tu seras the king/queen of the world mais avant cela, une petite mise au point s'impose ! Maintenant que tu es un membre du forum, tu vas devoir t'enregistrer sur quelques sujets pour que nous puissions (nous, le grand staff ultime et méchant que tu aimes of course ) gérer le forum. Dans un premier temps, merci de recenser ton avatar en passant dans ce sujet. C'est très important, alors n'oublie pas de le faire ! Ensuite, tu vas devoir faire un tour dans les registres du forum pour que nous puissions t'ajouter. Premièrement, tu vas recenser ton daemon en allant dans ce sujet. Ensuite, tu vas être recensé(e) dans ta nation en cliquant par ici. D'autre part, à Kandrakar comme tu as du le remarquer, nous avons différents camps. Tu vas devoir nous indiquer le tien en faisant un tour sur ce sujet. Et pour terminer, merci de nous indiquer ton travail en cliquant par ici !

Par ailleurs, tu vas pouvoir t'intégrer au sein du forum et nous t'invitons pour cela à poster ta fiche de liens et de RPs de ce pas ! Nous avons mis un modèle facultatif à ta disposition si tu veux, il se trouve dans ce sujet ! Tu as peut-être besoin de scénarios ou de liens précis, alors n'hésite pas à créer un scénario en cliquant ici ou en optant pour un semi-liens en jetant un coup d'oeil à ce sujet. Pour finir, le flood est ta nouvelle maison alors viens y faire un tour par-ici. A bientôt sur le forum