prénom, pseudo ≈ sparks, laura.âge ≈ dix-sept ans. avis sur le forum ≈ pas bô. (trop canon il pique les yeux ) comment l'as tu découvert ≈ les admins ont fait pression sur moi pour que je m'inscrive c'est barbare.     personnage ≈ () inventé () prédéfini (x) scénario dernier mot ≈ vous êtes tous canons je vous love tous. (surtout toi manon pour ce scénario de fou   )

Koël se tenait aux côtés de ses frères et de sa sœur alors que ces derniers s'amusaient avec leurs daemons. Le soleil était déjà haut sur les terres d'Antrakar où les quatre enfants Black vaquaient à des occupations différentes selon chacun. Un soupir s'extirpa de la bouche de Koël alors qu'elle se tenait assise, à regarder le vide de ses yeux marrons. La demeure des Black était silencieuse, si bien que seuls les rires des enfants venaient briser ce silence si pesant et pour autant si agréable. Koël baissa les yeux, puis la tête, le manque de présence de ses parents en disait long sur la situation. Ils s'étaient fait arrêter, une fois encore. Rares étaient les fois où ses parents se tenaient tranquilles. Leurs idéaux loin d'être en faveur du gouvernement les menaient à des situations auxquelles ils ne pouvaient pas s'extirper. Alors il séjournaient en prison, encore et toujours sans pour autant changer de comportement. Ces idéaux étaient mauvais et Koël l'avait toujours su, jamais elle n'avait été en faveur de cette ambiance dans laquelle ils séjournaient tous. Une ambiance emplie de haine. C'était Koël, qui passait  la plupart de son temps avec ses frères ainsi que sa sœur, leurs parents étant trop occupés à lutter contre ce gouvernement, bataille perdue d'avance, Koël en était que trop sûre. Ce fut Mabel, la cadette de la famille qui brisa le silence tandis qu'elle s'avança en direction de sa sœur aînée. « Où sont ils? » ces mots avaient été prononcés avec tant de douceur, tant d'innocence que Koël ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire. Elle leva la tête vers sa sœur cadette qui se tenait dorénavant devant-elle, le regard inquiet, soucieux. « Papa et maman. Ils sont où? » ces mots, cette question vint déposer un poids lourd sur la poitrine de Koël qui essaya de cacher son inquiétude tant bien que mal. Elle savait où se trouvait ses parents, du moins elle s'en doutait. L'habitude, l'habitude de cette inquiétude constante avait prit possession de ses pensées, ils ne pouvaient être qu'en prison pour elle, c'est là où ils étaient toujours quand elle ne les entendait pas cracher sur le gouvernement et les familles vassales. Elle soupira, doucement, si doucement que Mabel n'eut pas le temps de s'en rendre compte. Koël vint placer une main sur les cheveux de sa sœur, puis, d'une main rassurante elle lui caressa doucement la tête jusqu'à que sa main effleura son visage encore si doux et si innocent. « Ils vont bien. Ils seront bientôt de retour. Comme toujours. » elle avait dit ces morts d'une assurance qui l'étonna. Son cœur se serra, si bien que Koël grimaça. Elle détestait cela, elle détestait devoir mentir surtout quand il s'agissait de sa famille. Mais ses frères et sa sœur ne devaient pas avoir à faire face à cette réalité si brutale, elle devait essayer de les préserver comme elle l'avait toujours si bien fait durant tant d'années.

Son crâne lui faisait mal, si mal. Ses mains salies, noires et rouges de sang étaient appuyées contre un rocher solide, noirci. Des explosions, des rafales de vents violentes s'abattaient contre la terre qui semblait trembler. Koël se laissa tomber, le dos contre la roche, meurtrie. Elle vint jeter un coup d'oeil à son bras ouvert et ensanglanté, il lui faisait un mal de chien. Tout son corps lui faisait mal. S'engager dans l'armée fut la seule chose à laquelle Koël avait pensé pour s'évincer de ses parents. Et elle avait réussi. Rejoindre les maîtres de la terre dans ce combat fut la seule idée qui lui traversa la tête, elle avait foncé sans même réfléchir. Elle aurait tout fait pour les quitter, elle ne supportait même plus de croiser leurs regards. Ils la dégoutaient. Elle se dégoutait aussi, elle avait abandonner les seuls personnes qu'elle aimaient. Elle ne se pardonnerait jamais. Le roche trembla, ce fut ce qui sortit Koël de ses pensées. Elle se força à prendre appui sur ses jambes courbaturées et blessées, si bien qu'elle manqua de s'écrouler quand ses genoux s'entrechoquèrent. Elle du prendre appui sur la roche pour réussir à se mettre complètement debout, un grognement s'échappa de ses lèvres, elle détestait se sentir en telle position de faiblesse. Elle soupira, tant bien que mal tant l'air était étouffant à cause de la fumée épaisses provoquée les explosions, les feux ardents. Koël fit face à ce qu'elle prit pour un mettre du feu, doute qui se confirma quand ce dernier se mit en position d'attaque et sortit une sorte de fouet de feu de ses mains. Koël leva des blocs de roche et s’emprisonna à l'intérieur pour éviter le coup qui vint s'écraser sur la roche d'une telle violence que tout trembla. Koël, à court de souffle, dû faire preuve d'une certaine force pour pousser les blocs de pierres en direction du maître du feu. Il fut touché par l'un d'eux qui le projeta à plusieurs mètres violemment. Koël poussa un grognement de douleur et vint poser sa main sur sa poitrine qui semblait être oppressée, écrasant un peu plus son cœur à chaque seconde. Quand elle leva de nouveau la tête, Koël ne fut pas confrontée au maître du feu étalé contre le sol mais debout sur ses pieds. On pouvait lire de la colère dans ses yeux et Koël aurait juré les voir s'enflammer. Le maître du feu envoya plusieurs disque de flammes à la suite, rapides et filants si vite que Koël n'eut pas le temps de se protéger. Elle essaya tant bien que mal de les éviter, seulement elle ne pu en éviter un qui vint se loger dans son épaule gauche. La force du projectile la propulsa de deux mètres en arrière où sa tête cogna violemment contre le sol. Tout devint flou autour d'elle et Koël du lutter pour ne pas fermer les yeux. Son épaule fumait et l'odeur de tissu brûlé vint se loger dans ses narines. Elle vit une silhouette s'approcher d'elle, les mains en feu. C'était la fin, elle allait mourir. Elle en était sûre, si sûre. Elle pensa à ses parents, puis à ses frères et enfin à sa sœur qu'elle ne reverrait plus jamais. Elle repensa à cette colère qu'elle avait ressentie face à ses géniteurs et cette compassion quant à ses frères et sœur. Un sourire, un léger sourire en coin se dessina sur sa bouche. Elle allait être libérée, libre de toute douleur physique ou mentale. Elle ne pouvait pas bouger, elle n'essaya pas. Ses yeux ne quittaient cependant pas cette silhouette qui avançait vers elle d'un pas déterminé. Il aurait pu l'éliminer à distance mais il voulait la voir mourir, il voulait voir la vie la quitter de ses yeux. Il voulait sentir son âme s'égarer. Sa vision n'était plus trouble, au contraire, elle arrivait désormais à tout voir clairement. Si bien qu'elle pu voir chaque parcelle de cendre tomber jusqu'à toucher le sol. Elle vit le maitre du feu s'immobiliser et tourner la tête, paniqué. Koël toussa, ses poumons lui faisaient mal mais elle toussa, grimaçant de douleur. Elle voulu se relever, voir la raison pour laquelle il s'était arrêté, pourquoi il ne l'avait pas encore achevé. Ses oreilles bourdonnaient et elle en fut déstabilisée. Elle réussit cependant à se mettre sur les genoux tandis qu'elle vit un soldat, un maître de la terre qu'elle connaissait, entrer dans son champ de vision jusqu'à se planter devant le maître du feu. Il souleva deux blocs de roche qu'il approcha du maître du feu qui semblait à son tour déstabilisé. Il n'eut même pas le temps de régir que les deux blocs de roches vinrent s'écraser sur lui d'une force incroyable. Koël plissa les yeux avant de voir ledit soldat avancer vers elle. Il se mit à genoux, à sa hauteur mais Koël ne semblait pas le voir. Je ne vais pas mourir ce soir. c'était ce qu'elle se répétait en boucle, elle qui s'était déjà préparée être tuée. « Black ! » son nom résonna dans tout son crâne mais elle fut incapable de réagir. Elle luttait pourtant, elle voulait dire qu'elle les voyait, qu'elle les entendait, mais son corps lui faisait mal, si mal qu'elle n'arrivait plus à bouger. Le soldat fit signe à un autre maître de la terre de le rejoindre. Koël fut cependant incapable de discerner ce qu'ils se disaient. Elle s'écroula sur le sol et la dernière chose dont elle se souvint fut un filet de sang s'écoulant sur sa tempe, puis sa joue. Tout était devenu noir, vide.

Un sourire fier était logé sur le coin de la bouche de Koël tandis qu'un rebelle maitre de l'air se trouvait assit sur une chaise en face d'Anatol et elle. Tous les deux se lancèrent un regard complice, fiers de cette chasse à l'homme qu'ils venaient d'effectuer. Koël s'approcha du rebelle qui semblait assoupit, elle lui donna une légère gifle avant de saisir sa mâchoire et de la lever, violemment cette fois-ci. « Ouvre les yeux. » Koël avait dit ces mots froidement, sans faillir. Cela faisait bien longtemps qu'elle travaillait pour la ligue et les interrogatoires avaient déjà été nombreux. Le maitre de l'air ouvra les yeux, visiblement désorienté. Son arcade sourcilière saignait, Koël sourit quand elle le vit, se rappelant de ces cailloux rapides qu'elle s'était amusée à lui lancer. Ses blessures étaient cependant nombreuses, ses mains étaient écorchées et une partie de son bras brûlé par un coup d'Anatol. Une fois que Koël s'assura qu'il était bien éveillé, elle recula et vint se placer aux côtés de son collègue qui se tenait droit comme un pic. Il avança à son tour, ne quittant pas le rebelle de ses yeux bleus. « Alors, dis moi. » Il s'accroupit à la hauteur du maitre de l'air sans le lâcher une seule fois des yeux. Anatol possédait cette particularité d'être très intimident, particularité que Koël admirait beaucoup. « Qu'avez-vous prévu, vous les vermines ? » il fit de grands gestes avec ses mains pour accompagner ses paroles qui étaient agressives mais tellement calmes en même temps. « Quels sont vos futurs plans? » le rebelle avait cette provocation accroché au regard. Refusant de parler ou même réagir, le maitre de l'air ne lâchait pas Anatol des yeux, esquissant même un léger sourire sur le coin de sa bouche. Anatol soupira avant de se relever en direction de Koël. « Tu ne rends pas les choses faciles vermine. » Anatol jeta un coup d'oeil à Koël qui regardait le rebelle d'un air mauvais, tellement mauvais qu'on aurait dit que ses yeux marrons étaient devenus noirs. Koël détestaient les rebelles, accepter d'entrer dans la Ligue avait été une évidence. Peut-être que cette haine lui venait de ses parents qui avaient trahis leur nation, qui avait participé aux destructions et aux meurtres de milliers de personnes. Koël serra les dents quand cette pensée traversa son esprit, le simple fait de penser à ses géniteurs la révoltait. Elle ne laissait cependant rien paraître, seule sa mâchoire crispée aurait pu la trahir. « Alors, on va t'expliquer les règles. » Koël avança de nouveau en direction de l'home assis sur la chaise qui ne changeait pas de regard, toujours aussi provocateur et tenace. La voix de Koël quant à elle était calme, elle faisait écho à sa confiance débordante. « Sois tu réponds à nos questions, sois on emploie une méthode qui te plaira moins et ta mort sera plus lente et douloureuse. À toi de voir. » Mais il ne bougeait pas, rien ne faisait. Koël, à bout de patience, vint prendre son bras droit fraîchement brûlé et encore sanglant dans sa main. Elle resserra sa poigne de fer tandis qu'elle ne quittait pas les iris du rebelle des yeux. Elle sentit les larmes venir dans les yeux de l'individu, la douleur prenait apparemment le dessus sur sa conviction. « Tu te rappelles de ce feu qui a brûlé son bras » elle vint placer le pouce de son autre main au niveau de son arcade ouverte et appuya doucement dessus. « et de ces pierres qui t'ont écorché le visage? » elle soupira avant de s'éloigner de lui une nouvelle fois. La douleur était visible sur son visage maintenant crispé. Des grognements de douleur s'échappaient parfois de sa bouche, ce qui fit sourire Koël et Anatol, fiers de leur travail. Cependant, le maitre de l'air demeurait silencieux et les deux membres de la Ligue commençaient à perde patience. Anatol tourna le visage vers Koël qui fit de même. « Tu veux commencer, Black? » un éclat de rire discret et retenu s'échappa des poumons de Koël. « À toi de me montrer ce que tu vaux, Hobbes. » cette constante compétition était presque devenue un jeu pour les deux membres de la Ligue. Un jeu qui consistait à voir lequel des deux aurait raison du rebelle en premier.

Le gouvernement l'avait annoncé et tout le monde était au courant, ils avaient trouvé des rebelles et allait les exécuter sur la place publique d'Aleria. Koël n'avait pas pu s'empêcher de s'y rendre, son désir de voir des rebelles tués étaient trop grand, eux qui avaient détruit tant de choses. Une fois qu'elle fut arrivée sur place, Koël avança dans la foule poussant chaque personne qui se trouvait devant elle, elle voulait être au premier rang pour assister à cet acte si juste à ses yeux. Koël n'avait pas pris la peine de consulter la liste des rebelles, elle voulait juste les voir mourir, qui ils étaient l'importait peu. Une fois arrivée devant la scène, Koël leva les yeux en direction des rebelles, un sourire en coin fière accroché sur ses lèvres. Ce sourire, cependant, se dissipa quand ses yeux vinrent se poser sur deux visages qu'elle ne connaissait que trop bien. Ses parents étaient là, devant elle, prêts à être exécutés. Elle ne pu dire si elle avait vu leurs regards se poser sur elle mais elle pouvait affirmer qu'ils se tenaient avec fierté, assumant parfaitement leurs actes et leurs opinion comme ils l'avaient toujours si bien fait. Et Koël se tenait devant eux, la bouche entre ouverte, ébahie. Elle sentit son cœur rater un bond quand les yeux de sa mère vinrent se poser sur le visage de sa fille. Elle avait sourit, sa mère avait esquissait un sourire qui voulait tout dire. Qui disait que Koël aurait maintenant le devoir de prendre soin de ses frères et de sa sœur. Koël acquiesça, elle put sentir ses yeux s'humidifier, elle baissa la tête rapidement pour ne pas montrer sa faiblesse comme elle l'avait toujours fait. Elle prit une longue et profonde inspiration et Koël eut recourt à un certain courage pour oser poser le regard sur le visage de ses parents une nouvelle fois. Elle qui les avait tellement détesté, voilà qu'elle se retrouvait à les pleurer. Koël serra les points et ferma les yeux, elle était plus forte que cela. Il s'agissait certes de ses parents mais jamais ils n'avaient agis comme tels, ils avaient d'ailleurs trahit leur nation et leurs enfants plus d'une fois, ils étaient des traitres. Elle serra les points si fort que ses jointures blanchirent rapidement. Ses yeux rougis ne quittaient pas la scène des yeux. Ils allaient procéder à l'exécution, ils allaient tous les tuer un par un, ils allaient tuer ses parents. La foule semblait heureuse de voir des rebelles mourir tandis que d'autres sanglotaient en voyant ces êtres humains mourir par les flammes. Koël se contentait de ne pas lâcher la scène des yeux, de croiser le regard de chaque rebelle qui se trouvait sur la place. On pouvait lire de la peur sur le visage de certains, de la tristesse su d'autres ou encore de la colère mais ce fut de la fierté qui s'installa sur le visage de ses parents qui attendaient leur mort fièrement et calmement. Ce calme étonna d'ailleurs Koël qui restait bouche bée devant ce spectacle. Si ils les voyaient, si ses frères et sa sœur étaient là que pouvaient-ils bien penser. Cette pensée traversa l'esprit de Koël si rapidement qu'elle en sursauta. Elle se retourna et regarda pas dessus son épaule à plusieurs reprises. Peut-être étaient-ils là, après tout. Peut-être qu'ils allaient eux aussi assister à cette horreur. Le bourreau s'avança, prêt à prendre la vie de ses parents. Koël regardait la scène, le cœur serré. Malgré le fait qu'une partie d'elle voulait agir, une autre s'y résignait. Le regard que lui avait lancé sa mère disait tout, elle ne s'attendait pas à ce que Koël intervienne elle savait qu'elle devait mourir et mourir pour ses convictions, sa mère n'aurait pas pu rêver d'une mort plus honorable. Le bourreau se stoppa net et des cris d'indignation s’échappèrent de la bouche de la plupart des habitants quand une personne monta sur scène. Koël écarquilla les yeux quand elle vit de qui il s'agissait. Avec la guerre puis la Ligue, elle n'avait pas revu sa sœur depuis des lustres mais elle aurait pu la reconnaître entre mille. « Mabel.. » son prénom s'était échappé des lèvres de Koël dans un souffle. Des larmes montèrent de nouveau aux yeux de la jeune femme, elle savait que trop bien ce qu'il se passait si quelqu'un osait perturber les exécutions, il était tué également. Koël aurait voulu bouger, elle aurait voulu monter sur scène à son tour et emmener sa petite sœur loin de tout cela mais elle en fut incapable. Elle fut figée sur place, comme clouée au sol tandis que sa cadette faisait preuve d'un courage dont elle semblait dépourvue. « Je vous en supplie ne faites pas ça. » cette innocence qu'elle avait toujours connu était encore présente dans la voix de Mabel, bien que cette dernière ait grandit. Ses mots cependant, n'avaient aucune répercutions et n'en auraient jamais face au gouvernement. L'expression faciale des parents de Koël avait dorénavant changé, une peur panique avait déformé leurs traits, ils allaient assister à la mort de leur fille avant la leur. Et Koël allait assister à la mort de toute sa famille tandis qu'elle allait vivre. Son souffle était saccadé, son cœur battait si fort contre sa poitrine qu'elle pu le sentir jusque dans ses tempes. Elle regardait le bourreau qui avançait vers sa sœur, immobile devant ses parents. Mais alors qu'il s'apprêtait à l'exécuter, deux autres personnes montèrent sur la scène. Koël cru que tout s'effondrait. Ses deux frères étaient là eux aussi et s'apprêtaient à mourir pour essayer de les sauver, en vain. Koël le savait déjà.  « Non, non, non. » ce fut la seule chose que l'aînée des Black trouva à dire, à faire. Et alors qu'elle ne s'y attendait pas, tout s'enflamma. Ses frères, sa sœur, ses parents, les autres rebelles présents sur la scène. Les habitants crièrent de joie, de tristesse ou bien d'étonnement, Koël n'aurait su le dire. Elle ne pouvait cependant pas lâcher l'estrade des yeux tandis que tout s'enflammait encore et encore. La justice avait été rendue, voilà ce que tout le monde en retirerait. Koël trouva finalement la force de bouger, si bien qu'elle tituba alors qu'elle essayait de se frayer un chemin parmi la foule. Elle pouvait sentir le vent se glisser sur ses joues trempées tandis qu'elle vint se retenir de tomber sur la façade d'une bâtisse. Elle se laissa finalement glisser sur le dos, sanglotant, tremblant. Sa gorge se serra, sa poitrine fut écrasée par un poids si lourd qu'elle eu du mal à le supporter. Ils étaient morts, ils étaient tous morts et elle, elle allait vivre alors qu'elle n'aurait mérité que de mourir avec eux.

Voilà ! Tu es enfin validé(e) et tu vas pouvoir rejoindre Kandrakar et t'amuser à tuer des gens, te battre contre nous et manger des poulets de la banquise, la vie est belle n'est ce pas ? Mais avant cela, permets-moi de te dire que : cette fiche c'est la perfection, je suis fan. je te valide avec grand plaisir, parce que tu as su cerner koel, en fait ton personnage tout en respectant absolument tout, je ne pouvais pas rêver mieux ma belle. (et btw les nouveaux gifs que tu as fais sont parfaiiiiiiits) et bref, bienvenue. .

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