prénom, pseudo ≈ cassandre, vieux frères. j'étais rhaegar marshall avant d'être oyzis  âge ≈ seize ans (dans une semaine ok ? ) avis sur le forum ≈ on ne s'en lasse pas  comment l'as tu découvert ≈ bazz personnage ≈ (x) inventé () prédéfini () scénario dernier mot ≈ que les ivashkov se manifestent

T’es bancale, instable. T’as perdu toute considération, toute circonspection. Toute indulgence. T’es plus qu’une bête sans but, sans objectifs, sans cible. Sans scrupules. Tu sèmes le parfum amer de la mort, de la souffrance, sur ton passage. Enragé, enchaîné, prisonnier de cette cage dans l’antre des démons des regrets, des remords, du péché. T’es sur le point de tomber en ruines, de crouler, de t’affaisser sous le poids de cette culpabilité qui te ronge, qui te consume comme le feu qui coule dans tes veines, qui ébouillante constamment ton sang chaud, ton sang souillé par le meurtre, par tous ces meurtres. Par ce meurtre-là, aussi. Tu te renfermes dans cette bulle de déni, de fierté, de refus démentiel et la folie s’abat sur tout ton être, s’empare de son âme, tord tes boyaux, te retourne les tripes. Les hallucinations, les cauchemars. Les cris, tes tympans qui se brisent sous la pression de ces grincements de dents, sous la pression de ces cliquetis incessants qui bourdonnent dans tes oreilles, qui colonisent ta raison, ta conscience affaiblie, ta conscience tâchée, pour la première fois, complètement anéantie. T’as échoué. Et l’aveu, la confession, t’effraient, t’électrisent sur place. Personne ne doit savoir. Personne ne doit être mis au courant de ce que t’as fait. De ce que t’as ressenti. Sur le coup, pendant toutes ces années. Personne ne doit être au courant que toutes les nuits, tu peux encore entendre l’écho de ton cœur se briser alors que le sien a cessé de battre de ta main. Que t’es encore à la recherche de toutes ces miettes d’organe éparpillées un peu partout dans un monde. Voire deux ou trois. T’as échoué. T’as pas réussi à passer au-dessus, à faire abstraction de tout chagrin, de tout regret. A te convaincre que tu l’as jamais voulu, jamais désiré, ce type-là, alors qu’il y a cette fille, cette brune, qui tu vas détruire, que tu dois détruire pour son propre bien. Pour pas qu’elle s’approche de tout le danger que tu représentes. Pour pas la blesser, elle aussi. Pour pas être encore plus con que tu ne l’es déjà.

Ivashkov. L’obligation de la réussite s’était imposée à lui, la ligue était devenue comme une étape essentielle pour trouver sa voie, devenir quelqu’un. Se forger une carapace imperceptible, indestructible, alimentée de cruauté, de sang-froid, d’arrogance et de violence douloureuse. Ne reculer devant rien. Surtout lorsqu’il s’agissait de protéger les Beirnsten, leur famille régente, leurs fidèles alliés depuis des générations. Ivashkov était étroitement lié à cette lignée royale, qui dirigeait d’une main de maître le pays. Et c’était sans scrupules qu’Oyzis, sous les encouragements de son père, avait entreprit de défendre le gouvernement, de soutenir le feu, en rejoignant la ligue et endossant la responsabilité d’éradiquer tous les maîtres de l’air qui foulaient encore le sol d’Antrakar avec cette insolence qui leur était propre, à ses yeux. Une mission qu’il prenait très à cœur et qui, avec le temps, avait véritablement changé son quotidien. Oyzis pensait la Ligue, dormait la Ligue, vivait la Ligue. Rien ne semblait avoir plus d’importance. Impassible dans toutes les circonstances. Impartial dans les instants fatidiques. Débordant de cruauté, de férocité, d’inhumanité. Il représentait désormais l’horreur, la peur, la souffrance, la douleur, la mort. Il représentait les craintes, les cauchemars, les plaies, les abominations, les infamies, les affres. Il se devait d’être ce qu’il y avait de plus sombre, pour remplir son devoir. Pour servir la tyrannie.

Un ultime combat. Son père se tenait à ses côtés, le visage marqué par la colère, le dégout. Oyzis n’avait jamais réellement craint son père, bien au contraire, ce dernier avait toujours représenté un idéal à ses yeux. Il avait l’ambition de devenir aussi fort, aussi puissant que le vieux Ivashkov qui gravait son nom dans l’histoire, aux côtés des régents, dont il était l’adjoint, comme le disait le vieux serment qui liait les deux familles. Un regard en arrière et il s’élança au combat, au conflit. L’attaque fut brève, rapide, le vent se mêlant aux jets de flamme. Les dominants contre les insoumis. Les grands gagnants de la guerre contre les éternelles victimes. Ces maîtres de l’air qui continuaient de se cacher, et qui éveillaient des idées malsaines chez Oyzis, qui ne manquait pas d’idées dans le cas où il réussirait à en attraper un vivant. Et puis, ce n’était pas n’importe quel maître de l’air. C’était lui. Cleon. Un type sans nom, sans identité, sans réelle importance. Un type qu’il avait rencontré à l’Académie, qu’il n’avait jamais réellement réussi à sortir de son esprit. Un type dont l’arrogance était détestablement attirante, l’insolence invoquait en lui quelque chose de nouveau, d’étranger. De soudain. De passionnel. Désir charnel qui le suivait depuis l’époque où ils n’avaient que dix-sept ans. Une soirée, un regard, un baiser. Il n’aurait fallu que de ça pour graver son nom dans sa mémoire à tout jamais. Cleon. Il le détestait, tout autant qu’il détestait cette fille, qui sortait avec lui. Circée. Elle était belle, Circée, avec ses cheveux chocolats qui dansaient contre son dos, se frottaient sensuellement contre sa peau douce, sa peau de porcelaine. Il aurait pu se perdre des milliers de fois dans l’infinité marine de ses yeux, dans les vagues solaires de ses iris, dans le trou noir infini de ses prunelles. Il aurait pu s’y perdre, s’y retrouver, s’y reperdre, et ça encore des centaines de fois. Elle était tellement belle, Circée, avec sa voix envoutante, hypnotisante, elle éveillait une étrange fascination perverse et mesquine au plus profond de l’esprit d’Oyzis. Du moins autant que Cleon. Autant que ses muscles saillants, de sa voix rauque et virile, que son sourire fendu et que ses pommettes relevées, qui dévoilaient des canines parfaitement alignées. Cleon, il avait cette mélancolie attrayante dans le regard, dont on ne pouvait se détacher. Il le captivait, et bien plus encore, Oyzis le désirait bien plus que toutes les autres filles de sa planète. Et Cleon, il était là, à quelques dizaines de mètres. Presque quatre ans qu’ils ne s’étaient pas revus. Quatre ans qui lui avaient permis de l’oublier, un peu, jusqu’à ce que son visage réapparaisse dans son champs de vision. Quatre ans qu’ils ne s’étaient pas vu et ils se jetaient dans la mêlée. Un seul survivrait.
Un coup fatal.
Du pourpre sur ses mains, sur ses jours, sur son destin. Une réalité qui la frappa, heurta sa carapace sale, abîmée. Toute la colère qui s’évaporait. D’un coup d’un seul. La fragilité prisonnière du vide de ses pupilles brisées. Anéanties. Vides, vides, vides. C’est la fin, fils. Fils. Comme s’il n’en a jamais eu qu’un. Non, père, ce n’est que le début. Un murmure qui se perdait dans le vent qui emportait avec lui les derniers souffles de Cleon. Les derniers espoirs envolés, évaporés à tout jamais.
Le meurtre souillait son âme abattue.

Voilà ! Tu es enfin validé(e) et tu vas pouvoir rejoindre Kandrakar et t'amuser à tuer des gens, te battre contre nous et manger des poulets de la banquise, la vie est belle n'est ce pas ? Mais avant cela, permets-moi de te dire que : je te valide avec très très grand plaisir, tu as une magnifique plume, une magnifique histoire et un magnifique personnage, je suis conquise. t'as juste écorché le nom bernstein à un moment, comment oses-tu? (je rigole hein cey parfait ).

   Désormais, un monde nouveau s'ouvre à toi, que dis-je, toute une galaxie où tu seras the king/queen of the world       mais avant cela, une petite mise au point s'impose ! Maintenant que tu es un membre du forum, tu vas devoir t'enregistrer sur quelques sujets pour que nous puissions (nous, le grand staff ultime et méchant   que tu aimes of course     ) gérer le forum. Dans un premier temps, merci de recenser ton avatar en passant dans ce sujet. C'est très important, alors n'oublie pas de le faire ! Ensuite, tu vas devoir faire un tour dans les registres du forum pour que nous puissions t'ajouter. Premièrement, tu vas recenser ton daemon en allant dans ce sujet. Ensuite, tu vas être recensé(e) dans ta nation en cliquant par ici. D'autre part, à Kandrakar comme tu as du le remarquer, nous avons différents camps. Tu vas devoir nous indiquer le tien en faisant un tour sur ce sujet. Et pour terminer, merci de nous indiquer ton travail en cliquant par ici !

   Par ailleurs, tu vas pouvoir t'intégrer au sein du forum et nous t'invitons pour cela à poster ta fiche de liens et de RPs de ce pas ! Nous avons mis un modèle facultatif à ta disposition si tu veux, il se trouve dans ce sujet ! Tu as peut-être besoin de scénarios ou de liens précis, alors n'hésite pas à créer un scénario en cliquant ici ou en optant pour un semi-liens en jetant un coup d'oeil à ce sujet. Pour finir, le flood est ta nouvelle maison alors viens y faire un tour par-ici. A bientôt sur le forum