prénom, pseudo ≈ on me trouve sur la toile sous le pseudo de Dandan mais je m'appelle Sonia.    âge ≈ 23 ans. avis sur le forum ≈ J'ai mis littéralement deux heures à lire toutes les annexes et c'est ça que j'aime. Et l'activité. Et la présence de lamas.    comment l'as tu découvert ≈ Bazzart. personnage ≈ (X) inventé () prédéfini () scénario dernier mot ≈ harcelez-moi de liens, j'aime ça.  

La terre tremblait sous ses pieds, dans ses mains, dans sa tête. Elle faisait naître ces vagues en son sein et envahissait le corps et l’esprit d’Axton. Elle ne cessait jamais ses tours et ses vices. Axton ne supportait plus ces ondes qui perturbaient ses pensées, aliénait sa raison. Il avait envie d’hurler au monde d’arrêter de tourner, d’arrêter d’exister. L’adolescent exécuta quelques pas fébriles en direction de la forêt dans l’espoir de s’éloigner de la civilisation. Depuis quand la civilisation était-elle si cruelle ? Pourquoi sa propre nation lui infligeait-elle tant de douleur ? Le punissait-elle d’être aussi différent des autres, d’être aussi turbulent et irréfléchi ? Il leva les yeux au ciel en quête d’une réponse absente. Le ciel était chargé de nuages sombres, alourdissant l’atmosphère d’une humidité moite. Il allait bientôt pleuvoir, les ondées étaient subites et éphémères en cette saison de l’année. Qu’il pleuve. Qu’il pleuve à torrent, que le tonnerre gronde et fasse taire la terre. Poussant un nouveau geignement de folie, Axton se laissa tomber à genoux près de l’orée du bois jouxtant la demeure familiale à Antrakar. Puis les cris succédèrent. « Arrêtez ! Pitié. » Mais ça n’arrêtait pas. Depuis son enfance, Axton n’avait jamais brillé pour sa patience ou sa sagesse. C’était un enfant qui ne voulait rien attendre, qui voulait tout découvrir. Sa curiosité et sa soif d’exploration étaient telles qu’il désobéissait souvent, quitte à manquer à ses devoirs pour aller satisfaire son propre plaisir d’aventurier. Très tôt, il avait exprimé le besoin d’être dehors, en contact avec la nature. Il était fasciné par les plantes et leurs propriétés, par les sols fertiles labourés pour l’agriculture, par les forêts denses qui regorgeaient de légendes et d’énigmes. Il était très maladroit, renversant tout à commencer par lui-même. Il tombait tout le temps, se blessait parfois mais recommençait toujours. L’équilibre n’était pas sa principale qualité et dès que les pouvoirs du garçon s’étaient manifestés, Gideon et Ludvina avaient craint qu’il ne soit pas en mesure d’avoir le pied ferme. Un maître de la terre ne serait jamais à la hauteur s’il n’était pas solidement ancré dans le sol. Un maître de la terre ne survivrait jamais, la tête dans les nuages. Honorant la réputation érudite des Hemingway, ils avaient commencé très tôt à éduquer leur premier fils. Des apprentissages théoriques, une généalogie familiale et sociale qui était très importante durant l’ère instable que subissait leur nation, puis de la pratique, beaucoup de pratique afin de cadrer leur enfant impétueux et lui apprendre la concentration. Il n’était pas le meilleur des élèves mais il faisait preuve d’une volonté et d’une détermination réconfortante. Seulement le tournant de l’adolescence constitua une nouvelle épreuve pour la famille Hemingway. Si le fils avait réglé ses problèmes d’équilibre et de désinvolture, il était emprunt à de plus en plus de crises morales, de colères et d’opposition. La nuit, Axton ne dormait pas. Le jour, il se plaignait de migraines atroces. L’enfant potelet devint un adolescent maigrichon et pâle. Sa curiosité laissait place à une introversion agressive. Il fallut plusieurs mois au paternel pour comprendre qu’il lui avait légué un héritage empoisonné. Le sens sismique était l’un des dons les plus respectés de Kandrakar mais il demeurait aussi rare parce que rares étaient ceux qui parvenaient à maîtriser ce don sans devenir fou. Il connaissait les sacrifices et le surpassement de soi dont il fallait preuve pour distinguer les ondes parasites des véritables messages que pouvaient offrir la terre. Il connaissait la force morale qu’il fallait acquérir pour espérer dompter sa relation avec la terre. Et visiblement, c’était ce qui manquait à Axton. Il ne voulait pas attendre, ni écouter, ni échanger. Il gardait tout pour lui-même dans l’espoir que ces mouvements sismiques s’apaisent. Jamais ils ne cessaient et plus il se sentait psychiquement attaqué, plus ceux-ci se renforçaient. Plus il grandissait, plus ceux-ci devenaient fréquents.
Alors que les tensions entre les nations s’accroissaient, emportant avec elle tout espoir de prospérité, les Hemingway faisaient face au déni de leur fils. « Tu n’écoutes pas. » Telles étaient les paroles qui résonnaient dans la tête d’Axton alors qu’il prit désespérément appui sur Rhéa, le petit caribou femelle qui officiait comme son daemon depuis cinq ans environ. Elle avait toujours gardé cette forme, excepté qu’elle semblait plus mal nourrie que jamais. Elle reflétait l’état psychologique et ce désolant spectacle brisait le cœur du jeune homme épuisé. Ses yeux bleus se levèrent au-dessus de leurs têtes, où s’accumulaient en lévitation des morceaux de roche plus ou moins imposants. Il était incapable de les faire retomber. Il était dangereux pour les autres mais pour lui-même avant tout. Le nez dans la fourrure du cervidé, il respira profondément cette odeur animale mêlée de terre et de sève d’arbre. Elle était là pour veiller sur lui, lui l’aîné qui devrait toute sa vie durant protéger les siens. Un instant, les ondes cessèrent de le hanter. Un instant, son cœur ralentit et sa respiration se calqua à celle de son daemon. Peut-être pourrait-il s’endormir là, debout contre elle ? Mais un bruit sourd sur la terre le fit brusquement ouvrir les yeux. Une pierre venait de retomber, immédiatement suivie d’une autre. Avant qu’il n’ait eu le temps d’essayer de reprendre le contrôle de ses éléments, le nuage de roche au-dessus d’eux s’écroula et Rhéa poussa une brame de souffrance quand l’un vint frapper violemment sa corne fragilisée. La douleur fit aussitôt écho dans le corps d'Axton qui succomba. Assommé par son impuissance à quinze ans d'existence, il s'évanouit là à l'orée du bois jouxtant la demeure familiale. Et enfin la pluie tomba.


La guerre avait éclaté. La nation de feu avait finalement déclaré la guerre à la nation de terre avant que l’air et l’eau ne s’emmêlent. A dix-huit ans, Axton assistait à l’apocalypse d’un royaume à la combustion d’un idéal d’harmonie qui n’existerait désormais plus. Les flammes voulaient tout anéantir sur son passage, pourvu qu’elles accèdent au trône. Les quatre éléments ne seraient plus jamais égaux. Ce constat ne cessait de troubler un adulte désormais en paix avec lui-même. Depuis l’accident, ces trois dernières années avaient été riches en enseignements et en discipline. Axton avait appris à se contrôler, à écouter et à patienter. Il savait désormais endurer les épreuves et surmonter les obstacles. Mais cette guerre représentait un mur infranchissable pour un peuple affaibli par les pénuries. Une nouvelle fois, le jeune homme se retrouvait démuni aux côtés de parents qu’il épaulait et de deux sœurs qu’il chérissait. « Par là. Je pense que c’est une bonne idée d’éviter les fenêtres. » Glissa-t-il à l’intention de l’un des jumeaux. Il y avait également les Livanov. Une branche de la famille régente de la nation de l’air qui connaissait la persécution. Axton ignorait ce qui avait pris Gideon Hemingway lorsqu’il prit l’initiative de les dissimuler dans leur propre demeure. Peut-être une ancienne alliance, de l’amitié ou tout simplement le besoin de faire de la résistance. Il préservait les apparences et dans l’adversité, la famille honorait humblement sa vassalité envers les Darsonval. L’aîné participait à sa manière. Il portait certains repas à la famille réfugiée, il se liait avec la fratrie composée d’une paire de jumeaux et d’une cadette. A l’heure où tout ce que cette génération avait connu de la société s’écroulait, il éprouvait le besoin de se rassembler, de vivre encore un peu dans le passé. Il venait de terminer son cursus à l’académie, sans savoir que les plus jeunes ne profiteraient plus de ce privilège avant longtemps. Lorsque les bombardements atteignaient les frontières d’Antrakar, Axton allait porter main forte. Une unique fois, son sens sismique lui avait permis d’appréhender un attentat. Aux côtés de Rhéa qui reprenait du poil de la bête, il était en train de forger sa place au sein de sa nation et d’un Kandrakar détruit. « Tu crois que cette guerre cessera un jour ? » Demandait-il la nuit, une main égarée sur le large museau du caribou. Les guerres aboutissaient à la paix et les paix engendraient les guerres. Tu dois rester concentré. Alors il écoutait son daemon et il continuait son apprentissage. Au sein de la guilde des chasseurs, il apprit le maniement des armes à distance avec lesquelles il était le plus confortable. Il savait chasser un gibier à plusieurs mètres de distance mais jamais il n’avait touché à un cervidé – par respect pour Rhéa. Mais il implosait à Antrakar. La guerre l’avait cloué sur sa terre natale alors qu’il n’aspirait qu’à fouler la terre d’un royaume entier, contre vents et marées, contre péril et danger, avant que le feu ne consume tout.


Tu ne sens pas quelque chose ? Axton toisa le caribou du regard, d’un air circonspect. « Tu te moques de moi. Je sens tout. » C’était désormais avec orgueil et fierté que l’homme usait du sens sismique. Ce don avait demandé tellement d’énergie, tellement d’abandon de soi qu’aujourd’hui, le maître de terre se sentait plus complet que jamais. La guerre, elle, avait provoqué une nouvelle crise économique pour le peuple d’Antrakar qui, pour la plupart, ne pouvait plus se permettre de prendre un parti risqué. La rengaine du désespoir, toujours la même, et le souvenir de plus en plus flou d’une époque paisible et fructueuse. Sitôt que les âmes terrestres participaient au combat, les sols brûlaient, les récoltes s’évaporaient. Le père Hemingway avait maintenu sa position d’une main de fer mais il se doutait qu’intérieurement, le paternel était dévasté. Quel enseignement pourrait-il tirer d’une telle horreur ? Quel enseignement pourrait-il inculquer aux générations à venir ? Axton avait quitté sa région natale, il y a de ça quelques jours, pour partir en exploration au nord d’Antrakar. A l’ordre de ses proches, il ne quittait pas sa lance, prête à voler si toutefois une menace se présentait à lui. Ses pouvoirs, eux, étaient prêts. Aujourd’hui, Axton était prêt à tout. Il accueillait avec sérénité les ondes sismiques parfois violentes qui ébranlaient son échine mais ne brouillait plus son esprit. Il voyait clair et demeurait attentif à chaque vibration plus suspecte que la normale. D’ailleurs, Rhéa venait de lui mettre la puce à l’oreille. Il croyait aux mouvements réguliers d’une terre froide et sèche qu’il découvrait au fur et à mesure de ses excursions mais la méfiance du caribou le poussa à s’arrêter. Comme son père le lui avait appris, il ferma les yeux. Privé de la vue, il devenait plus sensoriel et plus sensible. Il se baissa pour que la paume de sa main entre directement en contact avec la terre et brutalement toutes les sensations furent décuplées. Surpris, il manqua de tomber à la renverse avant de puiser en lui pour maintenir sa méditation. Chaque chute revenait directement jusqu’à lui et au bout de quelques secondes, Axton sourit dans le vide. « Je ne suis pas le seul intrus, ici. » Je sens le prédateur, Axe. Le daemon est un prédateur. « Et alors ? » dit-il en se relevant et en s’engageant dans les bois, « Tes cornes ne te servent pas seulement à te gratter. » Dans le ciel, le soleil déclinait. Bientôt le crépuscule rendrait les forêts impraticables et qui sait quelles créatures pouvaient surgir lorsque la lune était souveraine ? C’était une interrogation à laquelle il ne s’était pas empressé de répondre – du moins pas dans un territoire qui n’était pas le sien. Pourtant il fallut presque deux heures pour arriver à la source de ces perturbations. Il n’y voyait presque rien et Rhéa était désormais ses yeux. Un guépard. Mais si Axton attaquait le daemon, c’était une guerre ouverte. La lance en main, il finit par dire de sa voix rauque et déterminée : « Axton Hemingway, qui va là ? » Le silence ne le rassura pas et il laissa alors Rhéa s’approcher pour examiner la paire d’âmes. Un daemon faisait toujours un bon éclaireur puisque s’attaquer à un daemon en plus d’être dangereux était une déclaration de guerre. Une fille. Elle est en piteux état. Le jeune homme planta sa lance dans le sol et rejoignit son caribou, la main sur son pelage. Dans l’obscurité, il tomba sur une jeune fille adossée contre un arbre. « Ca va ? » Le feulement du guépard lui était bien indifférent, conscient qu’il ne faisait que protéger sa maitresse. Rhéa, elle, se montrait plutôt hautaine. Tais-toi, matou, il est là pour aider. Enfin, une voix féminine l’interrogea sur son identité, à croire qu’elle venait d’émerger d’un autre monde où il ne s’était pas présenté. Un tremblement vint cogner la plante des pieds d’Axton qui appréciait de moins en moins devoir traîner ici. « Vous êtes perdue ? » Depuis combien de temps errait-elle ici ? Vu l’état de ses vêtements et les chutes qu’il avait pu ressentir, peut-être des jours entiers. « On ne peut pas rester là. Ca n’est pas sûr en ces... » En ces temps de guerre. En ces temps où le besoin de dominer les autres avait remplacé la pitié, la solidarité et l’amitié. Elle ne daigna lui répondre que pour lui demander de faire ce qu’il avait à faire. Il s’approcha jusqu’à pouvoir remarquer à la faible lueur lunaire ses yeux céruléens. La victime était apeurée, affamée, terriblement jeune mais presque belle dans son état le plus primaire. Qu’est-ce qui l’avait poussé si loin, si seule ? Il poserait la question plus tard. « Je suis désolé. » Dit-il, plus à l’attention du daemon félin qu’à l’adolescente. Il était temps de partir. Il enroula son bras autour de sa taille et glissa l’autre sous ses genoux afin de la soulever. Soulagé qu’elle soit légère comme une plume, Axton entreprit de marcher le retour avec l’aide de Rhéa. Il se sentait galvanisé de fierté tandis qu’il était persuadé de sauver une autre victime de la guerre. Et il se sentit souverain lorsque sa chaleur corporelle vint envelopper et réchauffer le corps frais de la demoiselle aux yeux océan.


Elles hurlaient. Leurs cris résonnaient à ses oreilles comme l’écho interminable de l’agonie. A travers les ténèbres du sommeil, Axton distinguait leurs visages. Seulement le visage de chacune d’elles, déformé par la terreur. Leurs traits si fins, si familiers, portaient les stigmates de la souffrance physique. Leurs yeux révulsés vers le ciel semblaient appeler une providence libératrice mais jamais elles ne cessaient de hurler. A elles, se joignait le même brame intolérable qu’avait poussé son caribou lorsqu’il l’avait blessée. Seulement elle, il ne la distinguait pas. Rhéa semblait s’être dématérialisée, devenant la voix hantée qui paraissait partout et nulle part. Dans la nuit, il n’y avait que le visage de ses deux sœurs et la mort souveraine planant au-dessus d’elle, enveloppant cette scène d’un dégoût étranglant. Axton était étranglé, incapable de prononcer le moindre mot. Ses cordes vocales travaillaient pourtant, s’épuisaient à formuler leurs noms évaporés dans un mutisme irréel. Puis, comme toutes les nuits, ce fut le même déroulement. Plus Axton se débattait contre ses forces obscures, plus le trépas de ses sœurs était lent et morbide. D’abord, sa soeur benjamine. Elle et ses longs cheveux bruns qu’elle avait hérité de son paternel. Elle brûlait. Les flammes léchaient chaque parcelle de son corps et plus le feu se nourrissait d’elle, plus elle hurlait. Ses cheveux se consumaient, mèche par mèche et les flammes semblaient suivre les ondulations de sa tresse. L’embrasement était volontairement poussif, savourant chaque minute de torture. Ses yeux noisette, autrefois si déterminés, si observateurs, étaient rivés vers le ciel. Son regard transpirait le désespoir et elle le regardait lui. L’ainé tendait la main mais jamais elle n’atteignait le visage dévoré. Puis vint la sœur cadette. Ses supplications ne devinrent plus que des étranglements alors qu’elle fut immergée par une vague destructrice. De sa bouche ne sortaient plus des paroles si malines, des réflexions si justes. Véritable reflet de sa vie, de sa bouche s'échappaient des bulles qui éclataient sitôt qu’elles rencontraient l’air frais. Au fur et à mesure qu’elle suffoquait, les bulles, elles, s’accumulaient. La noyade, perfide, retirait lentement la vie de ses poumons, la laissant s’étouffer de ses appels à l’aide. Ses yeux viraient doucement aux couleurs des abymes océanes et continuaient de fixer à la surface, son frère impuissant. La terre n’était nulle part. La terre avait disparu, lui emportant sa force. Hors d’accès, Axton se débattait pour pouvoir atteindre ses sœurs et faire cesser ces meurtres. Voilà à quoi ressemblaient les quatre éléments dans le chaos et chaque nuit, l’ainé Hemingway assistait, désarmé, à l’anéantissement de son monde tandis que de plus en plus haut dans le ciel, il continuait de s’élever.

Voilà ! Tu es enfin validé(e) et tu vas pouvoir rejoindre Kandrakar et t'amuser à tuer des gens, te battre contre nous et manger des poulets de la banquise, la vie est belle n'est ce pas ? Mais avant cela, permets-moi de te dire que : j'ai adoré lire ta fiche le personnage est très intéressant et j'ai aimé comment son don l'affecte .

Désormais, un monde nouveau s'ouvre à toi, que dis-je, toute une galaxie où tu seras the king/queen of the world mais avant cela, une petite mise au point s'impose ! Maintenant que tu es un membre du forum, tu vas devoir t'enregistrer sur quelques sujets pour que nous puissions (nous, le grand staff ultime et méchant que tu aimes of course ) gérer le forum. Dans un premier temps, merci de recenser ton avatar en passant dans ce sujet. C'est très important, alors n'oublie pas de le faire ! Ensuite, tu vas devoir faire un tour dans les registres du forum pour que nous puissions t'ajouter. Premièrement, tu vas recenser ton daemon en allant dans ce sujet. Ensuite, tu vas être recensé(e) dans ta nation en cliquant par ici. D'autre part, à Kandrakar comme tu as du le remarquer, nous avons différents camps. Tu vas devoir nous indiquer le tien en faisant un tour sur ce sujet. Et pour terminer, merci de nous indiquer ton travail en cliquant par ici !

Par ailleurs, tu vas pouvoir t'intégrer au sein du forum et nous t'invitons pour cela à poster ta fiche de liens et de RPs de ce pas ! Nous avons mis un modèle facultatif à ta disposition si tu veux, il se trouve dans ce sujet ! Tu as peut-être besoin de scénarios ou de liens précis, alors n'hésite pas à créer un scénario en cliquant ici ou en optant pour un semi-liens en jetant un coup d'oeil à ce sujet. Pour finir, le flood est ta nouvelle maison alors viens y faire un tour par-ici. A bientôt sur le forum