prénom, pseudo ≈ lu. âge ≈ vingt ans avis sur le forum ≈ magnifique et tellement original comment l'as tu découvert ≈ bazzart personnage ≈ () inventé () prédéfini ( ) scénario dernier mot ≈            

chapter one
the bombing

Tu étais en train de t’entraîner à la maîtrise d’une figure que l’on t’avait montrée dernièrement quand tu reçus l’ordre d’évacuer au plus vite l’académie. Tu avais dix-sept ans, tu connaissais la guerre, tu ne mis pas longtemps à comprendre ce que cela signifiait. C’est quand tu te rendis compte qu’ils n’évacuaient que les élèves de la nation de l’eau et du feu que tu compris ce qui était en train de se passer. Tu voyais la panique dans les regards de tous les élèves, même de ceux que l’on évacuait. Tout le monde savait qui avait l’avantage dans cette guerre, tout le monde savait que les élèves qui n’étaient pas évacués ne survivraient pas ce qui se préparait. Tu n’arrivais pas à bouger, tu ne pouvais pas bouger. Qu’est-ce qui justifiait que tu aies le droit de vivre ? Qu’est-ce qui justifiait que des enfants soient tués ? Non, tu n’avais pas envi de bouger et pourtant ton frère finit par te tirer par la sortie. Tu sentis des larmes couler sur tes joues alors que tu voyais le chaos autour de toi, alors que tu voyais la compréhension se dessiner sur les visages des plus âgés et la panique envahir cette des plus jeunes. Tous ces enfants qui allaient être sacrifiés, comment en étiez-vous arrivés là ? Une fois à l’extérieur de l’école, les larmes ne s’étaient pas arrêtées mais tu entendais toutes les personnes autour de toi, tu les entendais dire que c’était mieux ainsi, cela faisait moins de monde pour se battre ensuite. Eradiquer la jeune génération c’était le plus efficace. Toi tu avais simplement envi de vomir. C’était facile à dire tout cela, tellement facile quand vous êtes nés du côté des vainqueurs. Et si la situation était inversée ? Tu ne pouvais t’empêcher de te poser ces questions. « Ca va Mila ? » La voix de ton frère te ramena à la réalité, te sortit de tes pensées et te fit revenir encore plus fort dans ce monde qui t’entourait où les cris de désespoir se multipliaient alors que vous vous éloigniez du château certainement vers un endroit sécurisé. « Je … Ils n’ont rien fait, ils sont comme nous. » Tu voyais que ton frère comprenait. Vous faisiez partis de la nation de l’eau et votre père était profondément patriote mais ta mère aimait à penser qu’une paix entre les nations était possible, qu’il y avait quelque chose à construire là-dedans et tu était persuadée que c’était vrai car en plus de perdre des innocents, tu allais perdes des amis. Tu t’étais fait des amis dans d’autres nations, pas beaucoup mais assez pour ne pas dormir tranquille comme certains. « On ne peut rien faire Mila. » Ca tu ne le savais que trop bien. Le camp qui vous avait été préparé ne tarda pas à apparaître devant vous et tu laissais ton frère partir avec les jeunes de son âge, avec ses amis. Tu étais au moins rassurée qu’il soit en vie. Ton regard ne tardait pas à tomber sur Nathan Blake. Ce jeune homme t’avait toujours intrigué mais tu étais toujours resté loin de lui. Tu savais qu’il t’avait tiré pour te faire évacuer, il t’avait entraîné vers la sortie lui aussi, avant ton frère. Nathan faisait parti de ceux qui pensaient que tuer des enfants était bien. Mais tu n’avais jamais vu le jeune homme exprimer des sentiments donc cela devait s’expliquer par cela. Il était au bord de la rivière, en train de jouer avec de l’eau. Tu ne tardais pas à aller le confronter, cela te faisait du bien, tu en avais besoin malgré toi. Et puis certainement que tu lui devais la vie, tu ne serais peut-être pas sortie finalement si personne ne t’avait tirée, trop abasourdie par la situation. A cet instant pourtant tu le détestais, tu le détestais de penser que c’était bien de tuer des enfants parce qu’il y aurait moins de personnes pour se battre plus tard, il n’avait pas de cœur, pourquoi mériterait-il le tien ? Et pourtant, il t’était impossible de détacher tes yeux des siens.

Tu ne dormis pas de la nuit, trop préoccupée par ce qui allait se passer le lendemain. Tu pensais qu’il allaient commencer cette nuit et pourtant. Alors que le carnage commençait le lendemain, tu te retrouvais à côté de Nathan. Au départ trop occupée par ce spectacle sanglant, les cris qui venaient au loin de l’académie, tu ne pouvais t’empêcher de laisser tes yeux s’humidifier. Cette guerre ne vous avait amenée tout droit à la barbarie … Mais tu n’avais pas le droit de pleurer, tu n’avais pas le droit de laisser voir que tu n’étais pas d’accord. Non, tu devais répondre comme les autres, tu devais te préserver toi aussi. Tu voulais rentrer dans l’armée de la nation de l’eau, tu ne devais pas être touchée par ce genre de scène. Quand Nathan te posa la question tu lui dis : « Ce sont nos ennemis. Il y a juste beaucoup de soleil, et mes yeux son sensibles. » Tu savais qu’il savait lui aussi que tu mentais mais tu lui étais reconnaissante de ne pas pousser le sujet, cela ne servait à rien de toute manière, quelle satisfaction pouvait-il avoir à te contredire sur ce sujet ? Aucune … Tu regardais le spectacle le cœur serré jusqu’à ce qu’il soit temps de bouger. La peur d’une embuscade était toujours là et il était hors de question de tomber dans un piège apparemment. C’est la tête baissée et déterminée que tu te mis en marches, des horreurs tu n’avais pas fini d’en voir …

chapter two
the tragedy

Tes pieds te font mal, tu n’es plus certaine de respirer mais tu ne peux pas t’arrêter. Tu ne fais pas attention sur quoi tu marches, tes yeux sont inondés de larmes et tu ne sais pas si c’est seulement à cause de la fumée qui s’élève toujours au dessus du village ou si c’est à cause de la tragédie que tu sais qui t’attend. Tu le sens au plus profond de toi, tu le sens que tu les as perdus mais tu ne veux pas y croire alors tu continues à courir alors que les cris te ton père te rappellent vers lui. Mais tu refuses d’y aller, tu dois voir de tes propres yeux. Finalement, après ce qui t’avait parut être une éternité tu franchis la limite du village et tu arrivais à peine à croire que tu avais grandi à cet endroit si magnifique auparavant. Aujourd’hui il ne restait plus rien, seulement des flammes et des cris de désespoir. Les survivants étaient inexistants, une attaque de nations ennemies pour se venger de tu ne savais quoi mais pour se venger, tu l’avais entendu dans la bouche de ton père. Tu continuais à courir jusqu’à ce que tu arrives devant votre maison, du moins ce qui avait été votre maison. Le corps de ta mère se trouvait devant la porte, c’est la première chose que tu vis et tu laissais échapper un cri, à bout de souffle, à bout d’énergie mais brisée de l’intérieur. Tu ne pouvais pas la perdre, tu ne pouvais tout simplement pas la perdre, pas à cause de ces querelles de nations. Non, c’était trop injuste. Ou peut-être que c’était juste, vous n’aviez pas perdu de famille durant la grande guerre, peut-être que c’était votre punition aujourd’hui. Tu laissais les larmes couler sur le corps sans vie de ta mère. Tu ne pouvais t’en empêcher, tu ne pouvais plus garder tes sentiments à l’intérieur, tu n’avais pas envi d’être forte, tu n’avais pas envi d’être un pion de l’armée de la nation de l’eau aujourd’hui. Tu savais que tu devrais sécuriser le périmètre et contacter tes camarades pour sécuriser le périmètre mais tu en étais incapable, tout ce que tu arrivais à faire c’était pleurer, pleurer encore et encore comme si tu essayer de vider ton corps de l’eau qui le composait. Tu pouvais sentir ton daemon sur ton épaule blotti contre ton cou pour te montrer que tu n’étais pas toute seule, qu’il était avec toi mais à quoi bon ? Finalement, ton regard quitta le corps de ta mère et tu pensais à ton petit frère. C’était son corps que tu devais chercher maintenant. En laissant ton regard traîner vers la gauche, tu vis un corps carbonisé, un corps qui faisait la taille de ton frère, un corps qui était le sien certainement. Quand ton frère était à la maison il ne laissait que très rarement votre mère seule. Tu attrapais tes genoux et tu te recroquevillais sur le sol avant de continuer à pleurer sur ce sol qui t’avait tant donné mais qui venait de tout te prendre. Tu ne savais pas combien de temps tu restais là mais tu dus tomber d’épuisement au bout d’un moment car tu te réveillais au milieu de guérisseurs. Qu’allais-tu devenir maintenant ? Ton père ne tarda pas à t’apporter une réponse en la personne de Nathan Blake. Tu l’avais croisée depuis le bombardement de l’académie, au détour d’un couloir du QG de l’armée de la nation de l’eau mais vous n’aviez pas échangé un mot. Tu te demandais bien ce qu’il te voulait. « Nathan Blake. Que puis-je faire pour toi ? » Tu n’avais rien à lui offrir à part des larmes aujourd’hui et tu savais que ce dernier ne les partagerait pas, Nathan Blake était connu pour ignorer ce qu’était les sentiments, le bombardement de l’académie te l’avait assez montré. « Rien. Mais tu peux venir habiter chez moi. J’ai de la place et tu n’as nulle part où aller. » A la place de ressentir de la reconnaissance, tu sentis un poignard se planter dans ton cœur. Avait-il besoin de te rappeler que tu n’avais plus rien ? Mais tu ne pouvais pas refuser son offre, au fond il avait raison, tu n’avais rien et il ne semblait rien attendre de toi en échange. Et puis ce serait mentir que de dire que Nathan ne t’avait jamais intriguée … « Ton père pense que c’est une bonne idée, on pourra te protéger. » Tu laissais échapper un petit rire ironique. Te protéger de quoi ? De la mort ? C’était bien la dernière chose qui te faisait peur, tu avais déjà tout perdu, tu n’avais plus rien à protéger. « Je me dois d’accepter je suppose. Je viendrai donc vivre chez toi. » Dis-tu. Nathan n’ayant rien d’autre à dire se leva pour partir. Tu le retins en l’appelant avant de lui dire : « Merci Nathan. » Oui parce qu’au fond, peu importe son intention avec cette proposition, il te sauvait d’une vie que tu ne voulais pas imaginer. Et peut-être que ce ne serait pas aussi pire que ça non ? Il se contenta d’hocher la tête, il n’en avais certainement rien à faire de tes remerciements mais tu savais que ta mère aurait voulu que tu sois douce, encore aujourd’hui.




Le sommeil léger, tu l’avais depuis que ta mère était morte. Toujours réveillée par des cauchemars, des mauvais rêves, tu ne connaissais pas les mots sommeil profond. Non, cela faisait longtemps que tu n’avais plus cherché à le toucher. Voilà pourquoi quand tu sentis ton lit s’affaisser sous le poids de quelque chose, tu n’hésitais pas à te lever d’un bon et à lancer ton poing en espérant qu’il arrive sur ce qui venait te déranger. Quand tu levais les yeux et que tu croisais ceux de Nathan dans cette chambre éclairée par la lune, tu te sentis rassurée et en même temps tu ne pouvais qu’être appréhensive. Que faisait-il là au beau milieu de la nuit ? Il ne te laissa pas le temps de trop y réfléchir, ne lâchant pas tes poignets, il s’installa sur toi. Tu étais peut-être innocente mais tu n’étais pas naïve non plus, tu connaissais désormais assez bien Nathan pour voir dans son regard qu’il était venu accomplir une mission et cette mission ne pouvait être que très claire à présent. Tu n’étais pourtant pas certaine de vouloir qu’il l’accomplisse. Oui, tu le voulais lui, tu le voulais depuis longtemps mais à quel prix ? Le caractère de Nathan ne te laissait rien présager de bon et pourtant ton corps te trahi alors que ses lèvres se posaient sur les tiennes, sur ton visage, dans ton cou … Ta respiration s’accéléra, tu ne pouvais décidément pas lui résister et ce dans tous les sens du terme. Avant qu’il n’aille plus loin, tu essayais de l’arrêter pourtant mais il te posa une question, une question à laquelle tu connaissais déjà la réponse et lui aussi : « Tu veux vraiment que j’arrête ? » Tu aurais aimé dire oui mais au fond tu n’en avais pas réellement envi, le désir que tu ressentais pour Nathan était plus fort que tout le reste à ce moment là. Ton silence voulait tout dire et quelques secondes plus tard ton haut était déchiré et en lambeaux sur le sol. Tu avais espéré qu’au moins Nathan trouve un peu de tendresse dans cet acte censé représenter l’amour entre deux personnes mais Nathan ne savait pas ce qu’était l’amour, la compassion. Non, il ne pensait toujours qu’à lui, les autres ce n’était pas important. Et à cet instant plus qu’à tous les autres tu compris cette leçon importante. Alors que les dents de Nathan s’enfonçaient dans ta peau par endroit car il semblait aimer parceller ta peau de traces quelconques, tu refoulais tes cris de douleurs. Tu ne pourrais jamais connaître ce que pouvait ressentir ce moment avec un autre parce que tu savais que Nathan ne te laisserait plus jamais partir même si tu le voulais. Tu avais mal mais tu ne disais rien parce que tu ne devais rien dire, ouvrir la bouche voulait dire souffrir plus, faire face à plus de cruauté. Mais tu ne pus t’empêcher de laisser des larmes silencieuses s’échapper de tes yeux alors que Nathan devenait tien et que tu devenais sienne. La douleur n’était pas simplement physique, elle était au plus profond de ton cœur, au plus profond de ton être et tu savais qu’au fond tu te condamnais, tu te condamnais par cette fascination que tu avais toujours eue pour lui. Tu te condamnais à ne pas connaître le bonheur car tu ne voyais pas comment ce dernier pourrait venir passer ta porte. Alors que Nathan déposait un baiser sur ta joue avant de s’en aller c’était le soulagement qui vint s’installer en toi. Il était parti, tu étais seule désormais. Tu attendis quelques minutes avant de te lever et de te diriger vers la salle de bain. Il fallait que tu te laves, tu ne pouvais rester ainsi. Tu ne savais pas si tu te sentais sale parce que tu l’étais ou par ce que tu venais de laisser Nathan te faire, tu ne savais plus rien désormais …

chapter three
the engagement

« Miss Huffleton, j’ai besoin du compte rendu stratégique sur le plan d’assaut que je vous ai fourni ce matin dans mon bureau dans une heure. On discute de tout cela en réunion dans une heure et quinze minutes. » Tu te contentes d’acquiescer à l’ordre de ton supérieur. C’est mieux comme cela de toute manière. Tu travailles sur ce plan d’assaut depuis le début de la journée, depuis qu’il te l’a donné en tout cas. Tu regardes les dessins de ces paysages que tu ne verras certainement jamais, tu regardes les figurines disposées dessus et c’était comme si tu voyais de vrais soldats. Tu avais d’abord vérifié que l’endroit de l’assaut pouvait fournir des réserves d’eau suffisantes. Il y aurait certainement des soldats de la nation du feu à vos côtés mais on n’était jamais trop prudent. Et puis tu fis ensuite toutes les vérifications. Mais ça tu l’avais terminé ce matin, tu réfléchissais désormais à la stratégie que tu aurais toi mis en place parce que celle annoncée ne te convenait pas, il y avait quelque chose qui n’allait pas. Tu ne savais pas ce que c’était encore mais tu savais qu’il y avait quelque chose qui clochait. L’heure passa à une rapidité effarante mais tu avais fini par trouver ce qui clochait et tu rendis donc le plan d’assaut et ton compte rendu détaillé à ton supérieur à l’heure précise où il te l’avait demandé. « Voilà monsieur, vous trouverez tout ce que vous cherchez à l’intérieur. Je me suis permise de faire des suggestions au niveau stratégique car j’ai peur que votre stratégie soit un peu faible sur certains points. » Ton supérieur regarda tout cela impressionné avant de dire : « Merci Miss Huffleton, votre aide est précieuse. Je vous dirai demain ce que nous avons décidé. » Tu savais que c’était plus par politesse qu’autre chose qu’il te disait ça, tu n’avais pas à savoir ce qu’ils avaient décidé, pas avant que vous ne fassiez un bilan de cette bataille mais pour cela il fallait qu’elle ait lieue et tu ignorais quand ils comptaient attaquer. Soupirant, tu attrapas tes affaires pour te mettre en route vers ton foyer. Enfin ton foyer, c’était celui de Nathan, le tien aussi certainement vu que vous étiez fiancés désormais mais tu ne pouvais t’empêcher de te sentir comme une prisonnière dans cette maison. Ce n’était pourtant pas une prison, tu pouvais en sortir à ta guise mais tu ne pourrais jamais réellement en partir. Tu n’étais pas certaine de le vouloir de toute manière. Quand tu arrivais à la demeure, tu ne fus nullement surprise de ne pas voir Nathan à l’intérieur. Ce dernier était plus qu’occupé avec la Ligue ces derniers temps depuis que son père lui avait laissé sa place. Tu laissais échapper un soupir de soulagement avant de te mettre à chanter une chanson que ta mère t’avait apprise tout en rangeant tes affaires. Tu ne tardais pas à monter dans ta chambre pour changer tes vêtements avant d’aller t’enfermer à la bibliothèque. C’était un endroit que Nathan n’avait pas réussi à gâcher et tu espérais qu’il ne le gâcherais jamais. L’heure du repas ne tarda pas à arriver. Tu posais donc à contrecœur ton livre pour aller préparer le repas. C’était ton rôle apparemment, tu n’avais jamais compris pourquoi c’était le rôle des femmes de préparer le repas mais cela ne te dérangeait pas, la cuisine tu aimais ça, cela te calmait et te permettait de te sentir proche de ta mère, elle qui avait été une si bonne cuisinière. Le repas cuisait au four depuis vingt bonnes minutes quand tu entendis la porte d’entrer s’ouvrir et se fermer. Nathan était de retour à la maison. Tes mains tremblèrent légèrement alors que tu ajustais la température du four. Tu te souvenais que le retour de ton père à la maison avait toujours été un moment de bonheur pour ta mère mais tu ne te voyais jamais sauter au cou de Nathan alors qu’il passait la porte d’entrée, cela n’arriverait jamais. Tu ne bougeais donc pas, concentrée sur ton repas que tu ne pouvais pas louper. Nathan ne tarda pas à montrer le bout de son nez. « Bonsoir. » Lui dis-tu avec la voix la plus naturelle et la moins remplie d’appréhension possible. Tu ne savais pas réellement si tu y étais arrivée ou pas. Nathan posa son regard froid sur toi, tu ignorais si un jour il ressentirait quelque chose pour toi ou pour quelqu’un d’autre à part lui-même. « Tu as passé une bonne journée ? » Tu n’avais rien trouvé de mieux pour essayer de lutter contre sa violence et sa froideur que ta douceur naturelle que tu essayais de ne pas perdre. « Une journée comme une autre, quelques morts de plus, si cela nous permet de survivre. » Tu frissonnais, tu n’aimais pas imaginer ce que Nathan faisait dans la ligue, il y avait bien une raison pour laquelle tu refusais de la rejoindre. Non, il y avait déjà eu trop d’atrocités dans cette guerre. « Le repas sera prêt dans quelques minutes. » Te contentas-tu de dire en guise de réponse. Aucun geste affectif, rien, c’était ton quotidien désormais, cette vie vide de sens et d’amour, ce sentiment que tu avais espéré trouver même dans ce monde de barbares..

Voilà ! Tu es enfin validé(e) et tu vas pouvoir rejoindre Kandrakar et t'amuser à tuer des gens, te battre contre nous et manger des poulets de la banquise, la vie est belle n'est ce pas ? Mais avant cela, permets-moi de te dire que : c'est parfait n'hésite pas à faire ressortir un peu plus le côté combatif de Milena (surtout quand elle n'est pas avec Nathan). Elle n'est pas arrivée à ce stade dans l'armée. j'ia déjà hâte de rp avec toi !! .

Désormais, un monde nouveau s'ouvre à toi, que dis-je, toute une galaxie où tu seras the king/queen of the world       mais avant cela, une petite mise au point s'impose ! Maintenant que tu es un membre du forum, tu vas devoir t'enregistrer sur quelques sujets pour que nous puissions (nous, le grand staff ultime et méchant   que tu aimes of course     ) gérer le forum. Dans un premier temps, merci de recenser ton avatar en passant dans ce sujet. C'est très important, alors n'oublie pas de le faire ! Ensuite, tu vas devoir faire un tour dans les registres du forum pour que nous puissions t'ajouter. Premièrement, tu vas recenser ton daemon en allant dans ce sujet. Ensuite, tu vas être recensé(e) dans ta nation en cliquant par ici. D'autre part, à Kandrakar comme tu as du le remarquer, nous avons différents camps. Tu vas devoir nous indiquer le tien en faisant un tour sur ce sujet. Et pour terminer, merci de nous indiquer ton travail en cliquant par ici !

Par ailleurs, tu vas pouvoir t'intégrer au sein du forum et nous t'invitons pour cela à poster ta fiche de liens et de RPs de ce pas ! Nous avons mis un modèle facultatif à ta disposition si tu veux, il se trouve dans ce sujet ! Tu as peut-être besoin de scénarios ou de liens précis, alors n'hésite pas à créer un scénario en cliquant ici ou en optant pour un semi-liens en jetant un coup d'oeil à ce sujet. Pour finir, le flood est ta nouvelle maison alors viens y faire un tour par-ici. A bientôt sur le forum